
Que pouvez-vous dire sur vous ?
Comme je ne suis pas doué pour parler de moi, je vais faire un copier-coller de ma bio officielle :
Européen par ses origines, Sebastian Bernadotte adore voyager. Enseignant, fan inconditionnel de littérature, ses goûts peuvent aller de Federico Garcia Lorca à Tolkien en passant par Åsa Larsson, Anne Rice ou encore Carlos Ruiz Zafón.
La musique occupe également une place importante dans sa vie, après avoir écrit pendant longtemps les paroles de chansons, il commence à noter des histoires qu’il aurait envie de lire. C’est en 2015 qu’il franchit le pas et décide d’envoyer son premier texte, une nouvelle intitulée « Un Weekend à Copenhague », qui sera publiée dans le recueil « Premier Amour ». En 2016, le premier tome de la trilogie « Agnès Price », un thriller fantastique scandinave, voit le jour.
En 2017, il publie « Bâton de Seydr », une romance paranormale gay.
Pour en dire plus, j’aime écrire du fantastique, car c’est ce que je lis le plus, mais aussi ce que je trouve le plus simple à écrire.
« Bâton de Seydr » et « Skugga » sont des romances paranormales, j’avais envie de raconter deux histoires d’amour, mais avec des personnages fantastiques.
La trilogie Agnès Price est plus « urban fantasy », car pour chacun des tomes, il y a une enquête policière. J’avais envie de raconter la construction de soi à travers un personnage à qui on a caché des choses une grande partie de sa vie.
« Les Mystères Fantastiques de Paris » est une saga dont seul le premier tome est sorti actuellement. Il est coécrit avec Thomas Andrew. C’est un mélange de genres fantastiques. On y trouve deux personnages assez différents l’un de l’autre, mais qui ont su s’apprivoiser pour une raison mystérieuse, à moins que ce ne soit à cause de leur travail. Ce sont tous les deux des enquêteurs du paranormal dans le Paris de l’exposition universelle.
Le thème de cette année du Festival est « Le Monde d’Après ». En quoi votre œuvre répond-elle à cette réflexion ? (La réflexion de cette année porte plus particulièrement sur la question de l’identité dans la littérature si ce thème vous inspire plus)
À travers mes écrits, j’essaie toujours d’inclure une sorte de quête identitaire. Est-ce une manière de montrer qu’il n’est pas facile de se faire une place dans ce monde qu’il soit d’avant ou d’après ?
Si je devais faire une analyse, je dirais que c’est certainement parce que j’essaie moi-même de trouver ma place.
Comment pourriez-vous résumer votre dernier ouvrage actuellement en promotion ?
N’en choisir qu’un serait cruel pour les autres.
Je dirais si vous aimez :
– les enquêtes policières avec des créatures surnaturelles et de la mythologie nordique : Agnès Price.
– les histoires d’amour « bestiales » avec des loups-garous : Skugga
– les histoires d’amour paranormales : Bâton de Seydr
– les enquêtes policières, l’humour, le steam punk, etc. : Les Mystères Fantastiques de Paris
Où se procurer mes livres ?
Directement sur le site de mes éditrices :
https://juno-publishing.com/book_author/sebastian-bernadotte/
Sur Amazon :
Mais aussi dans n’importe quelle librairie…
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